Le larmoiement est un problème fréquemment rencontré en ophtalmologie, souvent juste après des plaintes de baisse de la vue. Au sein de l’Institut d’Ophtalmologie de Paris, le Dr Asseraf apporte son expertise pour éclairer les causes et les options de traitement de ce phénomène.

 

Importance de l’humidification oculaire

 

Pour rester en bonne santé, la cornée et la conjonctive, qui sont des parties clés de la surface oculaire, doivent être constamment humidifiées. Cette humidification est assurée par le film lacrymal, produit par les glandes lacrymales, et réparti uniformément à chaque clignement des paupières. Ce film est composé de trois couches : lipidique, aqueuse et mucinique, chacune jouant un rôle spécifique.

 

Causes courantes du larmoiement

 

Le larmoiement peut être dû soit à une production excessive de larmes, soit à un blocage des canaux lacrymaux. Paradoxalement, une surproduction de larmes peut souvent résulter d’une sécheresse oculaire, créant un cycle où la cornée irritée provoque une production accrue de larmes, souvent abondantes et irritantes.

 

Traitements disponibles

 

Pour traiter le larmoiement lié à la sécheresse oculaire, l’approche initiale consiste souvent à prescrire des larmes artificielles. Ces solutions sont choisies en fonction de la couche spécifique du film lacrymal qui est déficiente.

 

Gestion de l’obstruction des voies lacrymales

 

Le traitement de l’obstruction des voies lacrymales varie selon l’âge du patient :

 

Autres facteurs à considérer

 

Il est essentiel de reconnaître que le larmoiement peut aussi être causé par d’autres facteurs moins courants, nécessitant une évaluation et un traitement personnalisé. Au sein de l’Institut, le Dr Asseraf collabore avec des spécialistes des paupières et des voies lacrymales pour offrir un traitement complet et efficace.

 

Le larmoiement est un symptôme complexe nécessitant souvent une prise en charge personnalisée. Pour un diagnostic précis et un plan de traitement adapté,  n’hésitez pas à prendre rendez-vous avec le Dr Asseraf.

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